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Besoin d'écrire mes souffrances
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14 novembre 2010

En enfer avec 2 anges ou le vieux pervers libidineux.

Pas mal le titre de ce billet ! Non ?
Ca ferait un bon titre de bouquin ! Vous ne pensez pas ?

C'est vrai, quand on l'analyse, on se dit qu'il va y avoir de l'action, du sexe, de la violence, bref tous les ingrédients d'un blockbuster américain.

Et pourtant, il ne s'agit que du Virus.

Bon d'accord, le virus n'est pas n'importe qui, c'est tout de même un type extraordinaire et génial (Pas de commentaire ! Faut bien que je m'encense de temps à autre, puisque personne ne le fait !).

C'est bien tout ça, me direz-vous, mais c'est quoi le rapport avec le titre du billet ?

Aucun, c'est juste pour meubler !

Ca fait 3 jours que je vis à 200 à l'heure, que depuis que je me suis levé jeudi matin aux aurores je n'ai dormi que quelques poignées d'heures, que je n'ai pas eu le temps de venir vous casser les bonbons avec mes posts sans intérêt aucun, si ce n'est de ne pas laisser ma verve (oui, oui, on peut remplacer le G par un V, c'est français mais ça ne veut pas dire la même chose) se laisser emporter dans l'oubli par les effets alzheimerisants qui me submergent parfois, alors je débite du verbiage sans vergogne (désolé pour ceux que les mots de plus de deux syllabes affolent, mais le Virus est ainsi constitué).

Bref, tout ça pour dire que ce titre (à la mords moi le noeud ! - Oui, je le concède !) n'est en fait que le teasing d'une épopée vécue par le Virus, mais qui n'a duré qu'une heure !

Ouah ! UNE HEURE ! Trop fort le Virus !

Heu ! Ne vous emballez pas ! Sans vouloir me vanter d'être (ou pas, pour le savoir faut prendre un rendez-vous privé avec le Virus) un éjaculateur précoce, il n'est nullement question d'un plan cul du Virus !

Oui, oui, ca vient !

Vous avez tenu jusqu'ici, vous n'allez pas abandonner après avoir avalé tant de conneries qui ne veulent rien dire !

Donc, jeudi mon programme était de prendre la route pour aller à Orléans voir mon amie Elisabeth.

Je viens tous les ans depuis que l'on se connait, parce que le 14 novembre (tient c'est justement aujourd'hui) c'est son anniversaire.

Me voilà donc à bord de mon merveilleux bolide (expldr !) m'engageant sur le périphérique parisien bondé, sous une pluie battante, en vue de rejoindre la porte d'Orléans (elle porte bien son nom cette fois ci) pour m'enquiller ensuite sur l'autoroute.

La bretelle d'accès à l'autoroute est en vue, on avance au pas, et là, j'aperçois sur le trottoir, un superbe jeune homme tout mignon, tout sexy, que je lui ferai bien un bébé à celui-là, qui brandit un bout de carton demandant à qui qui est généreux de bien vouloir l'emmener à Bordeaux.

Là, le vieux pervers enfoui dans le plus profond de mes entrailles, commence à imaginer le scénario d'un navet filmé en flou et avec des acteurs pas crédibles, propose au beau jeune homme, une place dans sa voiture contre paiement en nature (oui, je sais, j'ai l'imagination fertile, d'ailleurs je rappelle à toutes fins utiles QUE J'ATTENDS TOUJOURS DES COMMENTAIRES CONSTRUCTIFS sur mon roman).

Et allez savoir pourquoi, le virus au grand coeur appuie sur le frein, pour libérer le beau jeune homme et sa très mignonne copine des affres de la pluie diluvienne qui s'abattait sur eux, comme sur mes vitres (enfin celle de la voiture, je n'ai pas de décapotable et quand bien même, mes lunettes n'étant pas pourvues d'essuie glace, je n'aurais pas retirer la capote).

Bref, me voilà donc affublé de deux petits anges mignons comme tout et fort sympathiques en plus.

Là où l'enfer à commencé (non, rassurez-vous, il ne se sont pas transformés en démons prêt à faire passer le virus de vie à trépas) c'est lorsque le temps c'est mis à jouer à la surenchère.

La pluie battante avait donné rendez-vous à ses copains et copines et nous nous sommes retrouvé en pleine fiesta où étaient présents les vents violents (qui te font faire des écarts que tu crois que tu vas allez emplafonner le camion que tu double), le brouillard, et en plus la pluie avait du abuser de je ne sais quoi, car elle étalait un truc gras au possible qui rendait le pare brise à la limite du translucide (que même le produit à vitre, il avait du mal à lutter).

M'enfin, le virus arrive à rester concentrer jusqu'au bout et largue les tourtereaux en vadrouille à la grosse station essence juste avant la sortie d'autoroute, pour finir sa route seul et entrer dans le monde mystérieux d'un week-end de folie (oui, oui, vous avez bien lu ! je n'ai malheureusement pas mis de S à folie, mais le week-end se termine demain, alors qui sait peut être que d'ici là ! Mais, ça c'est une autre histoire !).

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Commentaires
M
Heu ! D'habitude c'est moi qui fait du rentre dedans, là j'ai pas l'habitude !<br /> <br /> T'es sur que t'as pas oublié de mettre tes lunettes ?
G
Qu'est ce qu'il est gentil le Virus. Des virus comme celà, j'en veux en permanence dans mon corps.
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