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Besoin d'écrire mes souffrances
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30 octobre 2010

Que du bonheur ...

Je vais vous le faire dans le désordre, mais, bon, c'est moi qui décide !

Au fait, j'espère que vous êtes assis, parce que y'a du lourd et puis va y'en avoir pas mal à lire.

Je commence par vendredi soir (donc hier soir) parce que ça, c'est que du bonheur.

Comme prévu, j'ai emmené ma carcasse à Toulouse (ptain, c'est chaud Toulouse ! Mais alors très très hot !  Mais attendez un peu vous allez tout savoir), pour retrouver le beau, sexy et grand Tambour Major.

On se retrouve place du Capitol et là je vois arriver mon Tambour tout laminé, crevé de chez naze (à cause qui bosse comme un fou), comme chaque fois qu'on se retrouve c'est tout comme que si on s'était quitté la veille (même la première fois, c'était comme ça, mais vous le savez puisque vous avez tout lu le virus comme vous l'a recommandé votre médecin ! lol).

Première étape, un petit resto basque pour un apéro tapas, même pas le temps d'y arriver que, comme le Tambour l'est connu comme le loup blanc, on croise tout plein de gens qu'il connait.

- Dis le Tambour, il est mignon le petit gars là ! Je lui ferai bien des enfants à lui !
- Il est hétéro et la fille avec lui c'est sa copine, mais t'as raison il est très mignon, et gentil comme tout !
- Bon ça va arrête de me faire baver !

Un petit verre de vin et quelques tapas de légumes plus tard, et aussi quelques bonnes tranches de rire plus tard, nous voilà en route pour un petit resto que c'est le top du top de chez top !

- Ah ! Vous êtes complet !

Pas grave, le Tambour étant plein de bonnes adresses à miam dans sa besace, nous voilà reparti en chasse d'une bonne table !

- Ben, crotte alors, il est en travaux celui-là !

Pas grave, le Tambour étant plein de bonnes adresses à miam dans sa besace, nous voilà reparti en chasse d'une bonne table !

- Ben, crotte alors, il est fermé celui-là, ça a du changer de proprio, ils font que le midi et salon de thé !

Pas grave, le Tambour étant plein de bonnes adresses à miam dans sa besace, nous voilà reparti en chasse d'une bonne table !

Youhou ! Je ne vais pas rentrer le ventre vide.

Un petit bistro, que c'est bon, que c'est sympa, que le serveur est pas mon genre, mais super sympa, bref un super moment !

Oui, bon d'accord, j'ai un peu des grands pieds qui ont fait valdinguer la table et que le manteau du Tambour ce matin y doit puer la vinasse !

Bref, après le petit café qui clôture la pitance, nous voilà en route pour un peu d'exercice physique !

Ptain, y m'a crevé le Tambour !

Tu le prend raplapla, tu lui file à bouffer et un petit coup à boire et te le v'lat'y pas frais comme un gardon !

Ca faisait longtemps que j'avais pas transpiré comme ça ! Du coup, ma guibole est un peu raide ce matin (heureusement, je n'en ai pas besoin pour vous raconter ma soirée de folie !).

Hein ? Quoi ?

Non mais ça va pas !

Mais qu'est-ce que vous êtes allé imaginer !

Ah ! C'est ma façon de raconter qui est ambiguë au point de vous faire penser que nous avions passer une nuit de folie dans son lit !

Ben, c'est fait exprès, c'est le virus qui raconte ! lol

Le Tambour est un garçon sérieux !

En plus, il est tout plein de savoir, il m'a fait arpenter toute la ville et il en connait dix fois plus sur chaque bâtiment de la ville que ce que moi je pourrais vous dire de la Tour Eiffel !

C'est joli Toulouse la nuit, plein de bars, de bogosses, d'étudiants fins prêt à gerber tout l'alcool dont ils sont imbibés ...

Après une tournée digne d'un facteur zélé et non gréviste assurant le boulot pour tous ces collègues, nous finirons par nous poser à une nouvelle terrasse pour déguster un cocktail sucré et savoureux !

Mais bon, il m'a tout de même fallut me séparer de mon hôte, parce que j'avais quand même deux heures de route pour rentrer.

Bref, que du bonheur !

Comme je vous l'ai susurré au début, ptain c'est HOT Toulouse, mais je vous raconterai après, parce qu'avant, j'ai tout plein truc à vous narrer depuis ma visite de lundi au sauna de Béziers qu'il est tout beau tout propre tout refait !

Mardi, c'était l'Espagne, bon je n'avais pas repéré de lieux hotement gays pour aller jeter le peu de dignité qu'il me reste au gré du vent, puisque Papa m'accompagnait (et je vous rappelle que le secret est toujours d'actualité puisque je n'ai toujours rien pu dire à mon fils).

Donc, la carte bleue a flambé et la voiture roulé.

Mercredi c'était Montpellier !

Le matin, la ville célébrait les obsèques de Georges F. j'ai donc décidé de n'y aller qu'en début d'après-midi !

Merci GPS qui me fait passer juste devant le sauna et merci la chance qui me fait trouver une place pour me garer pas loin.

Ce qu'il y a d'étonnant au 36 (c'est le nom du sauna) c'est que tu paye à la sortie et pas à l'entrée.

Le décor est sobre et quelque peu sombre.

M'enfin pas de quoi grimper au rideau.

A un moment je m'installe dans le salon télé (dommage il est près du bar, et tout éclairé) pour me régaler des quelques bogosses exerçant leur art (enfin, c'est pas non plus du grand art).

Soudain, j'entends une voix qui me demande si son propriétaire peut s'asseoir à coté de moi dans le confortable canapé.

Je lève les yeux et là, le vois un jeune homme merveilleusement beau, qui me sourit.

Je lui réponds que bien sur il peut poser son joli popotin près de moi ! (tu pense, un bogosse de la mort qui tue qui a envie de me draguer, je ne vais pas refuser en plus !).

- Salut, moi c'est M !
- Salut, moi c'est le virus !
- Ca va te paraitre un peut cash, mais je te trouve très sexy !
- Heu ! (Un peu géné le virus ou plutot troublé, genre il se fout de ma gueule ou il a un gout de chiotte en matière de mec ?) Je te trouve hyper craquant ! :)
- On est plutôt bien parti alors !
- Je crois ! Oui !
- J'ai pas envie de baiser ici ! Ca te dit d'aller faire l'amour chez moi, j'habite à 5 minutes d'ici !

Un peu direct comme méthode, mais carrément efficace !

Quelques heures de sensualité plus tard, nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre !

Hey ! Ho ! Ho !

Réveille-toi le virus !

Arrête de rêver !

Pfff ! C'était quand même plus sympa comme rêve que les 5 minutes pendant lequel un mec a décidé de me sucer avant de se barrer !

Bref, que du bonheur ou presque !

Jeudi, j'avais prévu de passer à Carcassonne, mais un peu fatigué, finalement je suis resté à la maison.

Ca va vous ?

Il est un peu long ce post ?

Je devrais peut-être arrêter ici, sinon vous allez vous lasser !

Quoi ?

Ah ! Vous voulez le HOT Toulouse !

Bon, alors, je vais me faire un café, et je reviens vous raconter !



Nous vous prions d'excuser cette interruption de programme,
complètement dépendante de notre volonté,

mais votre virus adoré revient après une petite pause




J'espère que cette attente ne vous a pas paru trop longue !

Mais, alors que j'avais prévu de me faire un café et de fumer une petite clope, lorsque je suis entré dans la cuisine, il était 12h30 et en guise de café, j'ai eu droit à un petit apéro au vin blanc primeur accompagné de tapas maison.

Des poivrons du jardin grillés à la plancha, des tomates du jardin confites sur du pain de campagne, des rillettes de thon faites maison et des moules à la rouille.

Vous me voyez donc désolé de vous imposer une nouvelle pause, pas programmée par le virus, mais que le virus va faire avec un grand plaisir, parce que le barbecue tourne et que le déjeuner ne va pas tarder à être servi.



Nous compatissons à votre envie,
devant l'impossibilité que vous avez de pouvoir participer à ces petits plaisirs de bouche,
et vous retrouverons si vous n'êtes pas totalement fossilisé après le repas.
Bon, je ne vous garanti pas de ne pas prolonger la pause par une petite sieste vu que la nuit a été courte,
mais ne désespérez pas, je vais revenir vous conter la HOTitude Toulousaine.




Bon, où en étions-nous ?

Hein ?

Oui, oui, merci, j'ai très bien mangé, je suis repu !

D'ailleurs, maintenant que vous m'y faites penser, je vais aller digérer avec une bonne petite sieste !

Holala ! Ralez pas, vous l'aurez le HOT Toulouse ! C'est pas souvent que le virus l'est une bombasse sexuelle de la folie que les mecs se battent pour avoir ses faveurs ! Alors vous pensez bien que je vais pas me gêner pour vous faire la biche !



ZZZZZZZzzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZ




Je ne sais pas vous, mais moi, ça m'a fait du bien de dormir un peu !

Donc, comme vous me le réclamez à corps et à cris, je vais vous raconter comment que le virus y s'est rendu compte qu'il avait des piles neuves dans son sexe (oui, je sais, elle est franchement nulle, mais bon, je ne peux pas toujours exceller !).

Déjà, tu arrive, le charmant garçon au guichet te demande ta pointure (quoi, il fait une étude sur le kilométrage de bite fréquentant l'établissement en se basant sur le bruit qui coure que le sexe est proportionnel à la longueur des pieds ???).

Heu ! 45/46 (héhé ! bavez ceux qui chaussent du 38 fillette ! mdr)

Et là, il te sort (non, pas son mandrin dressé !) une paire de tatane et te file la clé de ton casier en te précisant que la serviette est à l'intérieur.

Me voilà donc en train de découvrir les lieux de ce sauna toulousain qui s'appelle Le Colonial.

La douche facile à trouver juste au début du parcours, le sauna repéré, mais avant me faut le hammam.

Tu trouve un couloir et au bout t'as le hammam !

Une première salle dans la pénombre, vide, la vapeur est bien chaude, cool, je vais bien me détendre. Tu avances pour faire le tour et tu as une autre salle quasi dans le noir (faut d'abord que tes yeux s'habituent à l'ambiance lumineuse du site pour arriver à deviner les formes de la pièce, mais tu devine juste) que tu te sers de tes mains pour suivre les murs et essayer de trouver un endroit ou poser ton royal petit cul.

Pas de bol, pas de quoi s'asseoir dans cette pièce.

De toute façon, t'as même pas eu le temps d'en faire le tour, que t'as une main qui te chope les roubignolles, te fait enlever la serviette et tu te retrouve avec Mademoiselle harcelé par des sussions carrément agréables !

Sauf que, dès que t'as un autre mec qui entre, la bouche apeurée à l'idée qu'on sache que c'est une suceuse se retire et le gars qui l'arbore se barre, histoire de garder l'incognito (excuse un peu bidon, vu que dans cette zone du hammam, il y fait noir comme au plus profond d'un trou du cul !).

Bref, une fois la cuisson du virus terminé, je ressors et après séchage, me voilà à l'assaut de la zone "hot", histoire de voir les trésors que recèlent les lieux.

L'endroit est très propre, carrelé de partout, pas des masses de cabines, mais elles sont spacieuses.

Au fond, un couloir qui s'assombrit, c'est un couloir "backroom" que pareil tu découvre en suivant les murs avant les mains, histoire de ne pas te retrouver avec le nez de traviole en t'étant pris une paroi carrelée de plein fouet !

Au détour d'un recoin, tu sens une main qui te caresse la cuisse et après quelques agréables sensations déclenchées par le passage d'une paume experte sur ma peau, je me retrouve une fois de plus avec Mademoiselle kidnappée dans une caverne humide et chaude et chatouillant des amygdales !

L'opérateur est très doué, ça ne m'étonnerais pas qu'il arrive à faire monter la pression pour déclencher un geyser.

C'était sans compter sur un autre larron, qui attiré par le plaisir visible du virus, n'avait qu'une envie, à savoir m'enculer à sec, histoire que je ne me contente pas du seul plaisir que l'on me procurait par devant.

Il va sans dire que j'ai bien évidemment du mettre à terme à cette tentative, ce qui a quelque peu perturbé l'expert buccal, et a eu pour résultat que les prouesses linguales ont profité à une bite issue de l'aggloméré de testostérone qui s'était formé autour de nous.

Un peu frustré, le virus décide d'aller se griller une clope (oui, il y a une salle fumeur !).

Et là, devait se produire, quelque chose de très perturbant pour le virus !

Tiens d'ailleurs, j'ai envie de m'en griller une, je vous laisse donc quelques minutes.



Commencez pas à gueuler que c'est pas bien de fumer,
JE SAIS.

Mais je vous aime quand même.




Me revoilou !

N'allez pas vous imaginer que parce que ce post étant rédigé en plusieurs heures il est plus travaillé que d'habitude !

Que nenni ! J'écris comme ça vient ! Ca doit être ma marque de fabrique !

Donc je rentre dans la pièce fumeur, et là je vois un corps magnifique (grrrr ! la serviette est nouée et cache la pièce maitresse du jeu des garçons qui aiment les garçons !), autant vous dire que le virus se retrouve tout émoustillé !

Je lève les yeux pour voir le visage qui trône au-dessus de ce corps de rêve, et là ...
j'ai bien cru que j'allais avoir une attaque qui allait me laisser sur le carreau.

Ce beau jeune homme, n'était autre que le sosie de W. à l'époque où nous avons vécu ses merveilleux moments (oui, j'ai eu l'occasion de voir une photo de lui récente et il est devenu moche !).

Après le bonjour d'usage, en ce lieux de vice cancérigène, nous entamons la conversation et je dois bien avouer que je n'y suis pas aller avec le dos de la cuillère et que j'ai fini par carrément lui suggérer de lui prodiguer quelques attentions toutes particulières.

Il a gentiment refusé car il n'était là que pour accompagner un ami qui s'envoyait en l'air dans une cabine à l'étage inférieur.

J'ai recroisé cette bombe, un peu plus tard à l'étage inférieur au moment où son ami, entrait dans une cabine pour un deuxième service, et il a de nouveau gentiment refusé de profiter du temps libre qu'il avait devant lui pour que l'on partage un pur moment divin.

Faut dire que je comprends aisément, car le virus à poil avec une serviette autour du ventre, ça n'a vraiment rien de sexy !

L'heure tournant, je me suis renseigné auprès du mec du guichet de la distance qui séparait les lieux de la place du Capitol où je devais retrouver le Tambour.

Pas la peine de changer de parking vous n'en avez pour 5 minutes à pied !

Et là, les perturbations se sont enchainées, car il fallait que j'ailles jusqu'à la place W. que je prenne l'avenue W. et que j'ai vu du W. écrit partout.

Avant W. je ne connaissais pas ce prénom, mais quand je le croise c'est par série !

Même si la blessure est toujours là, je dois bien avouer que ce genre de situation ne me fait plus autant de mal qu'il y a encore quelques mois, et cela à plutôt tendance à me conforter dans le fait que j'ai bien tourner la page, même si je sais que seul Alzheimer sera apte à en effacer tous les souvenirs.

Ca me parait raisonnable comme post, je vais donc arrêter là, faudrait pas que je perde mes fans par lassitude.

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Commentaires
T
Hé non, je ne choisis pas mes restau en fonction de la bogossitude des serveurs. C'est même exactement le contraire : je crois que la qualité de la bouffe est inversement proportionnelle à la mignonitude des gens de service. A quelques très rares exceptions près ^^
G
Quelles aventures.
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