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Besoin d'écrire mes souffrances
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18 novembre 2010

L'épreuve du cul ...

N'allez pas vous imaginez que je vais vous sortir (mais euh !!! arrêtez bande de pervers !!!) un scoop sur une nouvelle émission de télé-réalité-à-la-mords-moi-le-nœud, ou un fabuleux commentaires sur le dernier film porno gay sorti dans les salles ...

... non ! comme d'habitude, je vais vous parler de ma trépidante vie sexuelle sans intérêt.

Je sais bien que certains préfèreraient un roman-photo montrant les attributs gonflés de sang de beaux mâles en chaleur forniquant comme des ânes et pilonnant de jolis petits culs provoquant des petits cris et gémissements de plaisir poussées en post-production, mais il n'en sera rien.

Je vous l'ai dit, je vais vous parler de MA vie sexuelle !

Pfff ! Même pas drôle diront certains !

Pas encore, mais ca va venir (avec mon bol) !

Avant toute chose, il faut préciser que le virus et son sexe à pile légendaire, attire la convoitise (à moins que ca soit de la curiosité, bah ! c'est pas tout les jours qu'on peut se frotter à un extra terrestre !).

Quand je dit "convoitise", je ne parle pas du prince charmant qui doit se planquer pour ne pas croiser mon chemin, mais bel et bien de CUL avec un grand Q.

N'allez pas vous mettre (rangez vos sextoys immédiatement, sinon vous allez être déconcentrés) en tête que le virus a les chevilles qui enflent ou qu'une queue de queues fait le poireau devant chez moi, c'est juste que les rares propositions qui me sont faites ont toutes pour particularité de me vouloir comme pote de Q !

La popularité internationale surement (tu parles ducon ! t'as une tronche qui quand on la voit on se dit que vu que tu dois ramer pour trouver du soulage libido, tu vas être content de plus avoir à chercher en ayant un régulier pour te faire cracher ton trop plein liquide à faire des bébés !).

Bref, après le merveilleux rendez-vous avec l'abruti qui avait du temps à perdre et pas envie de déjeuner seul, me voici donc avec un nouveau rendez-vous pour passer l'épreuve de la quéquette dressée (ben, faut pas se leurrer, si y'a feeling ou pas, c'est le seul critère qui permet la reconduction plus ou moins régulière de cette pratique dégoutante que peuvent faire deux garçons ensemble !).

La situation est différente, car ce garçon est en couple (Bouhhh ! Le virus est un briseur de ménage !).

Oh ! Eh ! C'est pas moi qui lui ai fait des avances, et puis il est majeur et responsable !

En fait, son chéri, avec qui ils s'aiment très fort beaucoup, et lui ont décidé d'un commun (hum ! hum !) accord d'aller voir chacun de leur côté à cause que mon putatif futur pote de Q a choppé un truc qui lui ramolli les muscles et que son chéri y veut plus lui faire des bébés (va comprendre Charles !).

Hey ! Le virus tu radote !

Hein ?????

Ben, ouai, t'en a déjà parler LA !

J'avais juste parler de lui, mais pas de ce qui va suivre ! Parce que c'est la suite qui me turlupine !

J'espère que je ne vais pas le casser quand même !

Donc, aucune chance que cette expérience purement charnelle se termine en l'apparition du prince charmant !

Depuis, que j'ai accepté de passer les tests de recrutement pour le job, j'ai comme toujours mon ciboulot qui travaille, et là, je dois bien avouer que je balise un peu.

Car vous n'êtes sans savoir que ce connard de virus est fleur bleue, sentimental et autres niaiseries romantiques.

Me voilà donc, avec l'angoisse de comment que je gère si je m'attache à ce mec ?

Il est clairement établi au démarrage du contrat que le job consiste juste à lui fournir une quéquette en état de marche et que question relationnel on peut devenir copains, mais pas plus !

Pourtant, je ne peux m'empêcher d'avoir les flubes, de m'attacher.

Je sais, je ne suis qu'un pauvre crétin des Alpes (heu ! je suis parisien de chez parisien !).

Bref, le rendez-vous de demain (oui, on a changé le programme, c'est plus quand le chéri à piscine, mais quand le chéri travaille et que lui pas - merci les 35 heures de libérer le vendredi après-midi !) va être déterminant pour la suite, mais ca sera le rendez-vous suivant (s'il y a embauche après la période d'essai) qui sera la véritable épreuve pour moi.

Donc, le virus est tout bizarre, d'autant que depuis mon retour de vadrouilles, mes colocataires s'en donnent à coeur joie, enfin surtout le fiston, déjà, que la période n'est pas celle que je préfère, tout ça n'arrange rien.

Alors si vous pouviez faire quelque chose pour que le prince charmant se décide enfin à sortir du bois dans lequel il se planque, vous m'éviteriez un pétage de boulons et de finir comme ça :

tete_dans_le_cul

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Commentaires
M
Comment t'es égoïste !<br /> Bon, tu me diras, je ferai pareil si je le trouve en premier !
S
Si je trouve un prince charmant je me le garde ma poule y a longtemps que les miens ne sont pas restés plus d'une nuit dans ma couche...
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